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- Quelques grâces miraculeuses reçues
Saint Joseph Vaz
Apôtre du Sri Lanka
1938
Une femme originaire d’Inde, qui tomba enceinte en avril 1938, commença à souffrir d’hémorragies au bout de quatre mois, avec le risque de fausse couche. Elle fut hospitalisée pendant deux semaines à Bangalore, où son état se stabilisa. Après quelques semaines, les hémorragies recommencèrent. Elle fut ensuite hospitalisée à Goa et le diagnostic fut posé : « placenta previa ». En novembre, les hémorragies augmentèrent, une césarienne, qui était considérée comme particulièrement dangereuse à cette époque, fut envisagée. Avant cela, des parents et des amis de la patiente implorèrent l’aide divine à travers l’intersession du serviteur de Dieu Joseph Vaz. Le lendemain matin, le 27 novembre 1938, les hémorragies cessèrent brusquement, de façon tout à fait inexplicable, sans intervention chirurgicale. Dans la soirée du 27 novembre 1938, elle accoucha d’un garçon en bonne santé, qui devint plus tard un prêtre. En 1991, cette guérison fit l’objet d’une enquête canonique dans l’archidiocèse de Goa. Le pape Jean-Paul II signa le décret sur le miracle le 16 juillet 1993, qui ouvrit la porte à la béatification en 1994.
1996
Une dame vivant à Sao Paulo, au Brésil, signala une grâce reçue, concernant la guérison de son frère d’une méningite à méningocoques C. Il fut hospitalisé à Sao Paulo. Après le diagnostic, il fut informé qu’il avait très peu de chances de survivre et que, s’il survivait, il aurait probablement de graves lésions cérébrales. Peu après, il entra dans le coma et resta inconscient pendant dix jours. Après dix jours, son état s’améliora, et au bout de dix autres jours il se rétablit. Après quatre semaines, il rentra chez lui, complètement guéri. Pendant le temps où il était inconscient, sa sœur avait récité une prière d’intercession du bienheureux Joseph Vaz.
1997
Une dame du Sri Lanka, vivant à Glendale, en Californie (États-Unis) signala la guérison miraculeuse de son frère. La gangrène de Fournier avait été diagnostiquée chez lui. Il fut opéré d’urgence et informé que sa maladie avait un taux de mortalité élevé. Après deux semaines, il se rétablit et, après trois semaines, il retourna au travail. La nuit de l’opération, sa sœur avait supplié l’intercession du bienheureux Joseph Vaz.
1998
Rose de Leema Jayatilake, de Waga, au Sri Lanka signala que, en 2006, sa fille, après son mariage en 1995, eut une grossesse difficile qui aboutit à une fausse couche. En 1997, elle fit une deuxième fausse couche. Le jeune couple abandonna tout espoir d’avoir des enfants. Mme Jayatilake emmena toute la famille à l’église de Kandewatta où ils firent un vœu au bienheureux Joseph Vaz. Trois mois plus tard, la fille de Mme Jayatilake tomba enceinte. Elle donna naissance à une petite fille.
1999
Un prêtre diocésain de Badulla, au Sri Lanka, signala le rétablissement exceptionnel de sa sœur. Elle avait subi deux fausses couches. En 1999, elle eut une septicémie, une infection généralisée qui touche les principaux organes du corps à travers la circulation sanguine. Sa situation était critique. Après une opération, elle resta inconsciente pendant neuf jours. Les membres de la famille et plusieurs prêtres commencèrent à prier par l’intercession du bienheureux Joseph Vaz. Des images du bienheureux Joseph Vaz furent apportées au chevet de la personne malade. D’autres difficultés survinrent. Sa main droite, au-dessus du poignet, se paralysa. Les médecins craignaient de devoir l’amputer. Les membres de la famille continuèrent leur prière d’intercession au bienheureux Joseph Vaz. Après une autre opération, la question de l’amputation ne fut plus soulevée. Après deux mois et demi, elle put quitter l’hôpital. Les médecins ont affirmé que seulement 10% de ces cas se rétablissent et peuvent mener une vie normale.
1999
Un Sri-lankais de huit ans avait une plaie ouverte sur la partie supérieure de sa cuisse gauche. Il fut hospitalisé à Kandy. On suspecta la présence d’un cancer. Soudain les chirurgiens découvrirent, à leur grande surprise, que la blessure était guérie. Le garçon put rentrer chez lui avec sa famille. À partir du moment où la mère avait appris que son fils devait subir une opération pour un cancer présumé, elle s’était rendue à la cathédrale Saint-Antoine et avait prié devant l’image du bienheureux Joseph Vaz. La documentation fut remise à la Congrégation pour les causes des saints à Rome, le 28 juin 2013.
2002
Une dame du Sri Lanka, vivant dans le Connecticut (États-Unis), était enceinte de jumeaux. S’agissant de grossesse multiple, elle était considérée comme à haut risque. On s’inquiétait au sujet du développement de l’un des jumeaux et on conseilla aux parents de procéder à d’autres tests. En même temps, on leur avait demandé d’envisager une interruption volontaire de grossesse pour les jumeaux malades. Les parents furent confrontés à la possibilité que l’un de leurs enfants soit malformé ou qu’il ne survive même pas à la grossesse. L’échographie révéla une anomalie cérébelleuse de l’un des jumeaux. Les diagnostics présumés étaient : 1. Malformation de Dandy-Walker ou Arnold-Chiari; 2. Défaut du tube neural; 3. Fusion retardée du vermis. Aucun des médecins n’a jamais mentionné aux parents la possibilité que l’anomalie guérisse par une progression normale. À ce moment-là, le couple adressa ses prières ferventes au bienheureux Joseph Vaz qu’il avait connu, par l’intermédiaire d’une tante du Sri Lanka, comme le patron des enfants à naître. Chaque jour, les époux récitaient la prière d’une image pieuse. Les amis et la famille se joignirent à eux dans la prière pendant environ deux mois. Lors des échographies qui suivirent, l’anomalie cérébrale avait disparu. La mère donna naissance à deux bébés jumeaux en bonne santé. En 2003, les parents contactèrent l’évêque de Kandy pour l’informer d’un miracle qui s’était produit par l’intercession du bienheureux Joseph Vaz sur les jumeaux à naître. La documentation fut remise à la Congrégation pour les causes des saints à Rome en 2013. Le 14 octobre 2013, une session rogatoire canonique a eu lieu à Hartford, dans le Connecticut (États-Unis).
2004
Une mère sri-lankaise de deux enfants en bonne santé tomba enceinte pour la troisième fois. Après quatre mois, elle fit une fausse couche. En 2004, à l’âge de 43 ans, elle retomba enceinte. La grossesse était considérée comme un risque. Après avoir consulté un prêtre, la famille commença à prier tous les jours par l’intersession du bienheureux Joseph Vaz. Cette femme accoucha d’un garçon en bonne santé.
2006
Une femme de Goa était mariée depuis 2001. Le couple n’arrivait pas à avoir d’enfants, bien qu’ayant consulté les meilleurs gynécologues à Goa et même un au Royaume-Uni. Tout ce qu’on leur disait, c’était que la seule possibilité de concevoir un enfant était la fécondation in vitro, ce qui était contraire à leur foi catholique. En 2006, le couple participa à la messe du soir au sanctuaire du bienheureux Joseph Vaz à Sancoale, la veille de sa fête. À la fin de la messe, lorsque fut chanté l’hymne de sortie, la femme eut une vision du bienheureux Joseph Vaz souriant. Quelques jours après cet incident, elle conçut, sans aucun moyen médical, un fils qui est né en octobre 2006.
2007
Un couple de Nalladrankattuwa, au Sri Lanka, était marié depuis cinq ans. Comme les époux souffraient beaucoup de ne pas avoir d’enfants, en décembre 2007, ils présentèrent leur problème au curé de la paroisse. Il leur conseilla de demander l’intercession du bienheureux Joseph Vaz. Après le chapelet quotidien, ils récitaient la neuvaine au bienheureux Joseph Vaz. En 2008, la femme tomba enceinte et donna naissance à un enfant en bonne santé.
2008
Un homme de 20 ans de Kandy, au Sri Lanka, fut hospitalisé en 2008 à cause d’une forte fièvre et de graves maux de tête. Après un mois, il n’y avait pas eu d’amélioration. Une excroissance grumeleuse apparut sur le côté gauche du cou, révélant que le patient souffrait d’un cancer. Sa mère pria le bienheureux Joseph Vaz pour son intercession. Sa sœur toucha le corps de son frère avec une image pieuse tout en demandant l’intercession de Joseph Vaz. Un ami proche de la famille rendit visite au jeune homme à l’hôpital et pria pour qu’il soit guéri par l’intercession du bienheureux Joseph Vaz. La fièvre diminua. Son état s’améliora jour après jour. Le mois suivant, il fut soumis à une intervention, mais à la surprise des médecins, le patient était complètement guéri. La documentation de l’enquête diocésaine fut transmise à la Congrégation pour les causes des saints à Rome en 2013, mais l’expertise médicale conclut que la reconnaissance d’une guérison inexplicable, qui est essentielle, ne pouvait pas être accordée.
2009
Une dame de Quepem, à Goa (Inde), a témoigné que sa nièce ne pouvait pas ouvrir la paupière de son œil droit. L’oculiste de Chennai, en Inde, n’avait pas pu trouver la raison pour laquelle la paupière restait fermée. La famille visita le sanctuaire du bienheureux Joseph Vaz à Sancoale vers 18 heures. Le directeur du sanctuaire pria pour la fille devant la statue du bienheureux Joseph Vaz dans le sanctuaire. Il remit aussi une prière au bienheureux Joseph Vaz à la famille en leur disant de la réciter avant de se coucher. Ils dirent fidèlement et religieusement la prière avant d’aller se coucher. Quand la fille se réveilla le lendemain matin, elle découvrit qu’elle pouvait ouvrir la paupière à son gré, comme avant.
2011
Un garçon hindou de Cansaulim, à Goa (Inde), âgé de 7 ans, devait subir, sur conseil des médecins, une chirurgie herniaire. La date de la chirurgie avait déjà été fixée. Une voisine se rendit au sanctuaire de Sancoale et alla visiter la salle de l’Oratoire dans la maison paternelle du bienheureux Joseph Vaz. Là, sous le célèbre jacquier du bienheureux Joseph Vaz, elle trouva deux morceaux d’écorce de fruit de jacquier. Elle les emporta à la maison et les donna à la mère du garçon en lui demandant de broyer ces bouts d’écorce et d’appliquer la pâte sur la partie infectée du corps de son fils avec une prière au bienheureux Joseph Vaz. La mère du garçon s’exécuta. La voisine pria elle aussi le bienheureux Joseph Vaz pour le rétablissement du garçon. Quand le garçon fut emmené à l’hôpital pour l’opération, le médecin observa qu’il n’avait plus besoin de chirurgie et il le fit sortir de l’hôpital.
2014
Un couple de Goa, en Inde, tous deux de religion hindoue, passait d’un médecin à l’autre depuis neuf ans dans l’espoir que l’épouse puisse tomber enceinte. Aucun médicament n’eut d’effet sur elle. Le couple resta sans enfant. Enfin, à la suggestion d’un ami catholique, les époux participèrent à une retraite pour couples sans enfants pendant la neuvaine du bienheureux Joseph Vaz, en janvier 2013. Depuis lors, le couple hindou commença à prier, par l’intercession du bienheureux Joseph Vaz, pour que le don d’un enfant lui soit accordé. Deux mois et demi après la retraite, la femme resta enceinte sans aucun médicament et, en 2014, accoucha d’un enfant en bonne santé.